Joyeux Noël, Pierre!

Pouvoir te sourire, sans plus souffrir, c’est de l’ordre du rêve, du mirage.

Le puits de souffrance, où je me trempe parfois, est toujours si profond et si rance! Epines de douleur à l’infini, marteau de malheur pour mon esprit!

Quelquefois, on se voit. Même si c’est fini!

Je voudrais que tu puisses, toujours, être fier de moi, mon petit trésor sur pattes!

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