J’en appelle au Commun!

Que tous trouvent une réponse à leurs besoins essentiels.
Que chacun puisse s’adonner à ce qui le fait se développer.
Ce n’est pas retourner dans la brousse, mais vraiment évoluer!
Par où commencer? Cesser de refuser d’entendre la vérité.
Prendre l’autre pour ce qu’il est et tenter de s’entraider!

Facebooktwitter

Êtiez-vous dans la Nuance?

Il y a cinq minutes, vous m’engueuliez. Là, vous êtes tout à fait aimable. Mais que s’est-il donc passé?

Revenez aux émotions que vous avez éprouvées avant de vous emporter. Dîtes-moi si je suis concerné.

Votre meilleur allié, c’est votre miroir.
C’est votre Jiminy Criquet. Bon voyage!

Facebooktwitter

Shaman!

Il danse la Galopée,
Il tam-tame de ses pieds.
Il regarde à côté,
Là où sont les déités!

Le tambour suit ses pas.
Mon oreille suit sa voix.
Et maintenant, je les vois,
Ceux qui sont en tout, en toi!

Il a l’air déconnecté,
Envahi par l’étranger.
Ce qu’il dit est compliqué,
Car on a tout oublié!

Il danse la Galopée.
Il est à moitié en transes.
Je le suis dans la clarté
Et je danse ce qu’il danse!

Facebooktwitter

Marche ou crève!

Fuyant le sombre passé,
On court vers l’heureux demain.
Ne pense plus à t’arrêter
Et lève-toi, nom d’un chien.

Pour cette vie confortable,
Tu oublierais ton cousin.
Ce doit être formidable,
Pour que tu oublies les tiens.

Il faut de la volonté
Pour tant vouloir consommer.
Il faut vouloir s’aveugler
Et rejeter l’étranger.

Fuyant le sombre passé,
On court vers l’heureux demain.
Ne pense plus à t’arrêter
Et lève-toi, nom d’un chien.

Tu fais fi de ton cousin,
Esclave en pays lointains.
Tu fais fi de ton voisin,
Plus que toi dans le besoin.

Marche ou crève comme un chien,
C’est ce que tu dis aux tiens.
Tu ne veux pas regarder
Ceux restés dans le fossé.

Fuyant le sombre passé,
On court vers l’heureux demain.
Ne pense plus à t’arrêter
Et lève-toi, nom d’un chien.

Facebooktwitter

L’histoire se répète!

Effet-papillon dans le lointain,
La vie-semence se pose dans un coin.
Que sais-tu du néandertalien?
Que connais-tu du mérovingien?

Un concours de circonstances
Te met le monde dans la main.
C’est toujours une évidence :
Tu vas toujours vers ta fin!

Ta riche expérience
Ne te sert à rien.
Et, quand tu calanches,
Il ne reste rien!

Facebooktwitter

Une bouche fermée!

La bouche se ferme, les mâchoires se serrent et puis les lèvres se collent.
Tu flottes là-dedans. Tu ne sais plus du tout habiter ce corps. Une chape de plomb te laboure!

Si tu as cette bouche-là,
C’est que, toi, ça va vraiment pas!

C’est taire quelque chose, assurément!

Facebooktwitter

Pourquoi lui et pas lui?

Dis-moi, à quoi ça tient?
Souvent, à presque rien!

A un état du moi,
Un regard derrière soi.
On s’écroule comme un tas,
Ayant perdu la foi!

Dis-moi, à quoi ça tient?
Souvent, à presque rien!

A un allant bien droit,
Un regard devant soi.
On avance, pas à pas,
Une béquille à la fois!

Dis-moi, à quoi ça tient?
Souvent, à presque rien!

Facebooktwitter

Borderland!

Une version de l’enfer des plus horrifiques!

Si tu pouvais ressusciter souvent,
Tu crois que ça se passerait comment?

Facebooktwitter

Une non-vie!

Une nuit courte et blanche,
Un matin sans carême,
Une journée bien peu franche,
Une soirée longue et blême!

Tous ces jours qui calanchent
Sont du pareil au même.
C’est comme un long dimanche,
Identique à lui-même.

Facebooktwitter

A la réforme!

Nos retraites vont mal. Elles sont maigres et fiévreuses. La température est montée à 49,3. Tous les Diafoirus du coin sont à leur chevet. Ils ne parlent que de Saignée!

Comment comptent-ils nous prendre la température? Sûrement avec un doigt infecte!

Facebooktwitter