Déliràdeux 2!



— Enfin comprendre!
« Là où tu poses tes pas coutumiers, tu ne peux rien apprendre. »

Ma mère me disait : « Pierre qui roule n’amasse pas mousse ».
Mon père me disait : « Les voyages forment la jeunesse ».
Alors trouvant les deux un peu énigmatiques, j’ai beaucoup oscillé entre pas coutumiers et aventure !

B. et N.

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Les gens de la haute!

Qu’il est bête,
Ton prince charmant.
Trop honnête ,
Pour faire de l’argent!

Il reflète
Ton entêtement.

Mais, soeurette,
Prend donc un amant,
Bien correct,
Qui plaise aux parents!

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Au loin, au nord!

Tempête,
Ô ma voix,
Par ton chant inspirée.
Je ris aux éclats,
De tes efforts acharnés.

Girouette,
Tu t’en vas
Et tu passes à côté.
Je tente un grand pas,
Par dans une herbe pré-mouillée!

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Il joue à vélo-vole!

J’ai vu un moineau,
Un joyeux Jojo,
Droit sur son vélo,
Si frêle et si beau.

Il fait de grands sauts,
Pour monter plus haut.
Il casse son vélo,
Sacré numéro!

Et, dans les chemins,
Les trous dans la boue
Sont faits par ses mains
Et puis ses genoux!

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