Un servile cerveau,
Au service des forbans.
Voyez comme il est beau,
Notre fils de Satan!
Toi, l’enfant du Malin,
Voilà ta conspirée :
Bien te laver les mains,
Pour bien lécher des pieds.
C’est un roi du micro,
Aux yeux exorbitants.
Ce n’est qu’un numéro
Qui joue à faire semblant.
Toi, le fils de potin,
Voilà ta destinée :
Revenir l’an prochain,
Attendre l’an passé!