Le chant de la commère!



On aime les méjugés,
Quand la vérité nous blesse.
On aime les préjugés,
Car ils ne sont que promesse.

On aime les grandes tablées
Où on peut chanter sa messe.
On aime fouler aux pieds,
Dans l’odeur de sa bassesse.

Facebooktwitter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *