Il est embarrassé pour dire,
C’est pas qu’il vous aime pas.
Il vous a fait un cadeau!
De ces moments que j’appréhende, 2!
De ma joie tranquille!
Parce qu’avec moi, tu veux être toi.
Parce qu’avec toi, je peux être moi.
J’entends le doux chant de la joie tranquille!
Quand on se regarde!
Je ressens ce que tu m’envoies,
Je ressens comment tu me vois.
Et les émotions partagées.
Je vois comment tu me reçois,
Je vois que je ressens pour toi.
Et ce que l’on va se garder!
De ces moments que j’appréhende, 1!
J’ai un peu peur, qu’au final, ce soit lui qui me le demande. J’aurai du mal à refuser. Pourtant, il ne faut pas, c’est une mauvaise idée!
Je voudrais m’excuser!
— Je voudrais te dire ma honte et mon respect!
— Ton respect, tu me le dis. Ta honte, tu peux la jeter.
De mes pensées-pervenches, 8!
Tu es ma paix avec moi, mon absence de promesse!
Les couteaux sont tirés!
Les couteaux sont tirés,
Le moment est étrange.
On entend respirer.
Puis, les os se mélangent.
C’est ton identité!
On commence à comprendre, quand on arrête de penser.
Jamais, on ne sait. Tes certitudes, elles ne vont pas t’aider.
Cette solitude que tu dois entreprendre, c’est ton identité!
Tu te ronges le bocal!
Tu te ronges le bocal,
Tu te fais des marées.
Tu me tues le moral,
De tes mots attristés.
Tu vas pouvoir rester!
Tu es couvert de sang,
Tu es couvert de boue.
Tu trembles de fatigue.
Des enfants jouent dans l’eau.
Toi, tu tombes à genoux.
Tu pleures et tu respires.
De grandes ombres sur toi,
Les enfants sont tout droits
Et les adultes arrivent.
On te donne à manger,
On t’emmène te laver
Et tu peux te coucher.
Cette ombre qui te broie
S’est un peux estompée.
Tu vas pouvoir rester!