On dit bien qu’une fable,
C’est comme une preuve écrite.
Le méchant loup qui bave
Est aussi con qu’une bite.
On le raconte épave,
Prêt à re-trinquer vite.
Et qu’il mêle sa rage
A la brise maudite.
Le loup, champion du vent,
Va finir en lardons.
Il doit trouver brûlant,
Son fond de pantalon.
Ce que fait cette fable,
C’est dire, en implicite,
Que de souffler du vent,
Il fait arrêter vite!