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Puis le chat a sifflé!




Puis le chat a sifflé,
De sa voix chasseresse.
J’étais là, à glander,
Tout au bord de l’ivresse.

Oui, mon chat sait cafter,
C’est à ça qu’on le dresse.
J’ai suivi sa lorgnée
Et j’ai perdu l’ivresse.


Un vent tourbillonné
Tourbillonnait sans cesse,
Restant à demeurée,
Même lieu, même vitesse.

Les oiseaux trop pressés,
Plongeant dans la tornade,
Sortaient, sattellisés
Vers une autre ambassade.


J’en ai vu s’amuser
A surfer sur les vagues.
Puis, un grand échassier
Y a perdu sa bague.

Le vent tourbillonné
A baissé de vitesse.
Plus une herbe froissée,
Ni de poil qui se dresse.


Que le chat ait sifflé
Un air plein de promesse,
Tu vas pas le croyer
Et tu files, en vitesse.

Si le chat veut chanter
La vie enchanteresse,
Je vais pas l’arrêter,
Mais lui faire des caresses!

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