
Vient le vent qui s’accroche au portail;
Je vais m’assoir devant.
Vient le temps et toutes ses funérailles;
Je vais m’assoir devant.
Vient le chant de cet épouvantail;
Je vais m’assoir devant.
Le printemps est le temps des semailles;
Je vais m’assoir devant.
Et l’Autan vient secouer les clochailles;
Je vais m’assoir devant.