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Un boulet, triptyque!

Je ne te crois pas!

Ce n’est pas parce que tu as dit les mots magiques :
Bonjour, Bonsoir et surtout Merci,
Que tu deviens, d’un seul coup, sympathique.

Ce sont de ces remords sincères, bien trop pathétiques.
Ce que tu veux me prendre doit être magique!

Désolé, ça ne prend pas. Arrête-toi là!




Je ne te crois toujours pas!


De excuses superficielles, des excuses artificielles.
Rien n’a changé. Tu me prends toujours pour un objet.

Toi, pour te croire, il faudrait être demeuré!




C’est bon, ça suffit!


Tu t’inquiètes. Tu as toujours peur que l’on t’oublie dans le partage.
Quand tu trouves une denrée comestible, tu la dévores en secret.

Adapte-toi et cesse de te lamenter. On ne risque pas de t’oublier.
Il y en a , déjà, deux ou trois qui se demandent si on doit te garder!

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