Dans le froid de décembre,
Sous un ciel rabougri,
A trop fixer la cendre,
Notre oeil se rétrécit!
On enterre novembre,
Août et tous ses amis!
C’est bien comme descendre
Tout seul, au fond d’un puits.
C’est la nouvelle année
Qui doit nous réveiller.
Le printemps s’est barré.
Il court après l’été!