
Ô muse, ma mie, revienne !
Je veux tant t’espérer
Que mes larmes se contiennent.
Ô muse, ma vie, revienne !
Je veux tant te rêver
Encore qui serait mienne.
Ô muse, ma mie, revienne !
Je veux tant t’appeler
Que j’en perds mon haleine.
Blablabla, elle est partie. Elle voulait pas rester; elle ne peut plus blairer Ta divine poésie.
Vu que je peux écriver Tes mots sans les penser, je lui donne cet avis : Surtout, ne reviens pas !