Ce n’est pas si souvent!


Ce n’est pas trop souvent qu’il se plie à la messe, en la garante église et encore moins souvent qu’il se parle à confesse, quand il fait une bêtise. Ce n’est pas si souvent les jours où il s’adresse aux anges de l’église et ce n’est pas longtemps, il chanta à la messe, faisant souffler la brise.

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Sur cet avis, c’est Aymeric!


Je recherche un petit garçon que l’on appelle Aymeric. Je l’ai connu, autrefois, quand j’étais lui et pas moi. Il chantait dans ses mains; il adorait l’église. Pour son chat, qui ronflait à deux reprises, quand il entrait là. Il était tout noir. Le chat montait l’estrade et miaulait aux Carpates. Il avait de grands yeux. C’était mieux que regarder l’autre, sur son chemin de croix. Et puis, il y avait le pinacle, le chant de les voix. Aymeric ne comprenait pas pourquoi son père voulait pas entrer dans l’église.

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C’est un jour de fenêtre!


J’étais allongé et le soleil m’a demandé où es-tu? J’ai voulu réponder
je suis là. Je puis plus; j’ai voulu savoir et puis me reconnaître, où es-tu?
Je crois pas déranger à ton oeil-fenêtre; je sais plus. Le soleil a cligné, c’est bien vu; tu es un enfant à naître!

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Aymeric a commencé à naître!


Aymeric a commencé à naître, dans mes écrits; mais, c’est pas comme la vie. En fait, je le connais à peine. Et pourtant aujourd’hui, je vous fais un récit; sans mentir qu’il advienne. On ne peut pas dire qu’ Aymeric était joli, dans ses semaines prochaines. Mais, il était vampire et maintenant je te dis. Je vous fais un récit de ces mots que tu lis, dans une ambiance sereine. On n’est pas en été et c’est un mercredi.
Tout à l’heure, à la récré, on lui a dit Chiche. Voilà, c’est terminé. Je viendrai raconter comme la pleue lui est tombée, en allant à la pêche …

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Aymeric était son nom!


A seize ans, j’ai fait un petit, sans le savoir, dans la tremblote. A vingt et un ans, j’ai trouvé, dans ma hotte, de quoi revenir vers lui. On m’alors dit qu’il était parti, avec sa mère, dans une roulotte. Et puis trois mois et re-belote, j’ai reçu un avis. Avec, pour moi, une petite note : Aymeric était son nom. C’est ce soir-là et j’en grelotte, que j’ai voulu tuer ma vie!

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De ton regard critique!


Ton regard est critique, mais sans la sainteté.
A voir par numérique, on oublie la chaleur,
La chaleur qui implique, dans tout ce qui est né.

Ton regard de moustique, il est, en vérité,
Toujours un peu comique; quand tu regardes l’heure,
Tu en oublies les tiques, sans voir le temps changer.

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Il nous faut déclasser les dieux!



Le grand lion qui bâille pour deux,
Il est de la Classe Feu.
On accorde à ce long ver
Une place dans la Classe Terre.
On voit bien, du pédalo,
Que le poisson est classé Eau.

Le serpent nous gêne un peu,
Car il est un entre-deux.
L’oiseau qui nage à l’envers
Entre dans la Classe Air.
Et on revient au serpent
Qui est faux, long et bien changeant.

Pour caser tous les restants,
Il faut la machine du temps.
Mais, elle n’est pas inventée;
Il va falloir attender.
Quatre classes, c’est bien trop peu;
Il nous faut déclasser les dieux!

Ce serpent, sur le gazon,
Entre dans la Classe Poison
Et, quand ça vient de l’enfer,
Tu mets dans la Classe Chimère.
Si on veut zoomer un peu,
Ils sont déjà bien plus de deux.

Et, si on peut zoomer mieux,
On voit bien des genres curieux.
Mais, ça nous regarde pas;
Allons nous mettre à l’endroit.
Je crois pas c’est rigolo
De faire durer ce truc idiot!

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Fait par lui, né de toi!


C’est alors que, pitre et pitre, vous vous mettez danser. Le démon-qui-revendique se retrouve rassemblé avec l’angelot-un-peu-unique que lui maman préférait. Lors, vous changez de réplique, comme maman elle le faisait, quand elle déposait sa trique pour venir vous enserrer. Quand l’angelot-un-peu-unique se remettait à pleurer, c’est le démon-qui-revendique, que maman allait rassurer. Elle n’a jamais levé sa trique; on ne l’a pas vue pleurer. C’est d’une ange-mère angélique que, nous deux, moi je suis né.

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