
Comprendre, c’est se rendre compte que l’on est devant l’évidence.
To Pierre-Pierro, Correspondances
Un sourire, un poème!
Une épaule à souffrir et la mort du dentier.
Une absence de sourire, puis il s’est enfermé,
Nobody.
La machine à écrire et le papier froissé.
Une odeur de soupirs, le carillon cassé.
Nobody?
Une vieille poële à frire et l’enfer de l’évier.
Une rampe à tenir, puis l’étroit escalier.
Nobody!
La malle à souvenirs et la lumière tachée.
Une grimace de rire, le temps s’est écoulé.
Nobody …