Ce n’est pas trop souvent qu’il se plie à la messe, en la garante église et encore moins souvent qu’il se parle à confesse, quand il fait une bêtise. Ce n’est pas si souvent les jours où il s’adresse aux anges de l’église et ce n’est pas longtemps, il chanta à la messe, faisant souffler la brise.
C’est un jour de fenêtre!
Il nous faut déclasser les dieux!
Le grand lion qui bâille pour deux,
Il est de la Classe Feu.
On accorde à ce long ver
Une place dans la Classe Terre.
On voit bien, du pédalo,
Que le poisson est classé Eau.
Le serpent nous gêne un peu,
Car il est un entre-deux.
L’oiseau qui nage à l’envers
Entre dans la Classe Air.
Et on revient au serpent
Qui est faux, long et bien changeant.
Pour caser tous les restants,
Il faut la machine du temps.
Mais, elle n’est pas inventée;
Il va falloir attender.
Quatre classes, c’est bien trop peu;
Il nous faut déclasser les dieux!
Ce serpent, sur le gazon,
Entre dans la Classe Poison
Et, quand ça vient de l’enfer,
Tu mets dans la Classe Chimère.
Si on veut zoomer un peu,
Ils sont déjà bien plus de deux.
Et, si on peut zoomer mieux,
On voit bien des genres curieux.
Mais, ça nous regarde pas;
Allons nous mettre à l’endroit.
Je crois pas c’est rigolo
De faire durer ce truc idiot!
Fait par lui, né de toi!
C’est alors que, pitre et pitre, vous vous mettez danser. Le démon-qui-revendique se retrouve rassemblé avec l’angelot-un-peu-unique que lui maman préférait. Lors, vous changez de réplique, comme maman elle le faisait, quand elle déposait sa trique pour venir vous enserrer. Quand l’angelot-un-peu-unique se remettait à pleurer, c’est le démon-qui-revendique, que maman allait rassurer. Elle n’a jamais levé sa trique; on ne l’a pas vue pleurer. C’est d’une ange-mère angélique que, nous deux, moi je suis né.