Non, pas ton conte des mille-ennuis. Quelque chose qui intéresse!
La princesse Mierda était une autruche. Elle était conne comme cent ans. Faut dire que les fées qui venaient de la ruche ne l’avaient pas loupée. Accessoirement, elle était gaufre-cruche, surtout quand elle voulait danser. Et, bizarrement, même ses ours en peluche faisaient ce qu’elle disait.
Le prince Grolant était lourd de puces. Son accent était troublant. Il était goéland devant, mais derrière c’était Bruce. C’était un prince changeant. Ce n’était pas pour ça qu’il était ventre-puce. C’était pour une question d’argent. Et pour les puces, il avait une astuce, c’est de se gratter souvent.
Le cheval Brêlois sortait de la bûche, mais il était bien matois. Plutôt que de porter une de ces deux cruches, il a filé par les bois. Et si il y a rencontré des embûches, jamais on ne le saura.
Je vous ai présenté les personnages. Vous voulez l’histoire ou on reprend le livre?
Le problème avec la vodka? Déjà, c’est que j’aime pas ça. Par contre, quand on me dit qu’elle est vraiment bonne, j’en prends une pour tenter. Au début, c’est pareil, c’est pas bon. Puis, la sensation dans la gorge et l’estomac, le parfum dans la bouche, un claps de la langue… Vaut mieux en boire une autre, faut pas mourir idiot. Là, ça devient bon, le froid devient chaud. D’où la troisième et c’est là que commence le problème!