C’est comme la porte du frigo, le bonheur; ça fait toujours de la lumière!
Il fait un temps à naître!
Ah, migraine et dormir!
Quand je ne mens pas!
Pensées à compléter, 7!
Nyctalope, toi-même!
La nuit, c’est pas de l’ennui à tête reposée;
Ce n’est pas le jour et il faut pas mélanger.
Nyctalope, toi-même, enfant du deuxième été!
Un risotto sans légende, une garce de nuit,
Un pied dans la prébende; revoilà les ennuis.
Je regarde pas le ciel, quand je suis emboisé.
Car le cri de la Chouette vient pour l’interdiser.
Nyctalope, toi-même, enfant du deuxième été!
Je peins des mots pour toi!
Dedans des circonstances!
De la vie-sinécure, acte 1!
Les maux de Wiserman!
C’est comme une clef, une ambiance profonde.
Au détour d’un thé, le printemps nous inonde.
Eh, Wiserman! Tu as bossé tout un week-end
Pour un quignon de chien, une pâtée de pain.
Tu repenses à tes veines et tu n’as plus de sang?
On a reconnu ça, dans la tête d’un rat:
Il était une fois, que ça ne le fait pas.
Eh, Wiserman! On se voit en bord de semaine
Et tout chavire déjà; le monde est en éclats.
T’as encore de l’advienne; t’as pas des mots pour moi?
C’est comme une clef, une ambiance profonde.
Au détour d’un thé, le printemps nous inonde.