Il n’est de voie que celle qu’on emprunte, pourquoi vouloir changer?
Quelque chose a changé!
Passez votre chemin!

— Ces machins, tout crevés, qui pendouillent, ça sert à quoi?
— Ils annoncent l’entrée du village, je vois aussi de la fumée.
On est bientôt arrivés.
— Dis, est-ce qu’ils vont nous bouffer?
— Si tu ne te tais pas, oui. Sinon, non.
C’est juste qu’ils en ont assez de se faire emmerder.
Viens, c’est par là.
J’ai pas peur de toi!
Là-bas, l’île au cyclope!
De la mort de l’ange!
C’est con, ce que tu dis!
Le vent va se lever!
A l’envers, sur le sol!
Une odeur d’apocalypse!

Une guêpe est venue me voler une gorgée de ma bière. Crime, pour une fois qu’il fait frais. Là, c’est non! Je sais bien qu’il ne faut pas le faire, mais je lui ai collé une claque. Maintenant, ellles sont trois. Y a des trucs qui marchent. Il faut les arroser d’eau, si possible une brume, sinon une bassine. Car elles ne savent pas voler sous la pluie et elles rentrent au bercail. C’est ce que, tous, on devrait savoir. La bassine, c’est une idée à moi, je me dois de l’avouer. Mais, le reste, c’est vrai.