
C’est un copain de chien
Et un grand minivan.
Deux lignes dans le tarin,
Le papillon s’évade!
To Pierre-Pierro, Correspondances
Un sourire, un poème!
De tout petits canards volent autour de ma tête
Et forment une auréole.
Je me pose dans l’escalier où l’ombre est secrète,
Car j’ai les pattes toutes molles.
Un vertige s’empare de moi et gronde dans ma tête,
Je vois comme des lucioles.
Je ne bouge pas, j’attends que je me remette.
J’ai perdu ma boussole!
— Ces machins, tout crevés, qui pendouillent, ça sert à quoi?
— Ils annoncent l’entrée du village, je vois aussi de la fumée.
On est bientôt arrivés.
— Dis, est-ce qu’ils vont nous bouffer?
— Si tu ne te tais pas, oui. Sinon, non.
C’est juste qu’ils en ont assez de se faire emmerder.
Viens, c’est par là.