Un vol de 3 grands corbeaux, avec 2 plus petits qui, alignés, composaient la hampe d’une flèche, traversa lentement le ciel. On aurait une flèche noire perforant les cieux; le temps était avec. J’a dit 2 plus petits; j’a pas dit leurs petits et j’a pas dit non plus 2 corneilles; bien qu’ils me semblassent d’une toute autre espèce.
Je m’allonge bien droit!

Je m’allonge bien droit, les deux mains sur ma poitrine. Je respire lentement. Je vois se refermer le couvercle. On me transporte. On me pose debout. La porte s’ouvre doucement. Il y a la mer; je me prends le feu de brûle d’un étrange et merveilleux soleil. Un petit temps, je suis en réveil; puis, je suis autre enfant!
Je parlais à l’oiseau!
De l’entrée en Octembre!
C’est son heure!
Je m’offre un Temps Parfait!
Entre le Joli et le Beau!
Je te dirais que de!
Aux petits temps de mon bonheur!

Vous, les petits moments de cœur qui s’enroulaient, en volutes,
Dans le ciel de ma demeure, je vous vois. Comme avant et sans
Ma demande, vous êtes là; et, je vous vois. Vous êtes là et vous
Créez la demande; je veux revivre ça; avec de nouveaux merles,
Et de nouveaux anges, un semblant de légende, peu de cinéma.
Vous, petits temps de mon bonheur, je vois souhaite Libre Joie!