
Avec contrainte,
Mais sans violence!
Telle est l’astreinte,
De l’éminence.
Avec contrainte,
Mais sans violence!
Elle est succincte,
Cette ordonnance.
To Pierre-Pierro, Correspondances
Un sourire, un poème!
Je viens m’asseoir sur un banc,
Dans ce grand vent qui fouette.
Le jour est mort, y’ a longtemps.
Le froid a des arêtes.
Je me sens tout différent,
Déjà s’aère ma tête.
Je reste encore un moment
Et ça me désinfecte.
Je prends le froid, sur mon banc.
Je craque une allumette.
Si les poules avaient des dents,
L’histoire serait bien faite!
Je ne reste pas longtemps,
Sous le grand vent qui fouette.
J’ai comme très froid en dedans,
La rhume-au-lit me guette!
Si, matin, tu te lèves,
Pour y attendre l’envie,
C’est que tu vis en rêve
Et que tu n’as rien appris.
C’est comme un flambeau,
Dans la rigueur de la nuit.
C’est comme un écho,
Dans le cri des incompris.
Si, demain, tu t’enlèves,
Pour te sortir de l’oubli,
C’est qu’une vie s’achève
Et qu’une autre vie prend vie.
Le problème avec la vodka? Déjà, c’est que j’aime pas ça.
Par contre, quand on me dit qu’elle est vraiment bonne, j’en prends une pour tenter. Au début, c’est pareil, c’est pas bon.
Puis, la sensation dans la gorge et l’estomac, le parfum dans la bouche, un claps de la langue… Vaut mieux en boire une autre, faut pas mourir idiot. Là, ça devient bon, le froid devient chaud.
D’où la troisième et c’est là que commence le problème!