
Le monde de l’envers est un long couloir étroit, d’une presque belle obscurité. On y chemine. C’est le chemin de la constance ciblée.
Parfois, on y voit briller le cristal d’âme d’une âme à rencontrer…
Un sourire, un poème!
T’entends le vent crier.
Alors, tu jézabèles
Et tu te fais cruel.
Tu veux le voir tomber.
C’est fréquent, c’est foncier.
C’est l’envers de l’échelle.
Et quand on décibèle,
On veut tout voir céder.
T’entends l’air respirer.
Alors, tu jézabèles
Et redeviens cruel.
Tu voudrais l’effacer.
C’est fréquent, c’est foncier.
C’est l’envers de l’échelle.
Et ça laisse des séquelles,
On ne sait pas soigner.
Ce môme-là, c’est une assiette à frites. Il campe dans la cuisine, quand sa mère fait à bouffer. Il est gentil et attentionné. Il rajoute des patates dans la pile, quand sa mère a le dos tourné.
Celui-là, il est monté sur piles. Il rit, il chiale, on peut pas l’arrêter. Il faut lui scotcher les cils, pour pouvoir l’endormer. Il utilise les patates pour apprendre à jongler.
Ce môme-là, c’est plutôt une fille, le genre garçon manqué. Elle bat ses frères aux billes et elle leur fout des raclées. Elle se sert des patates pour les caillasser.