
Une route solitaire
Que d’apprendre à se taire.
Une voie dégagée
Que d’apprendre à parler.
Mais il y a plus probant :
Faire les deux en même temps!
Un sourire, un poème!
Il commence à pencher
C’est l’heure, c’est l’heure
De son Brièvement
Il est un grand artiste
Peinteur, peinteur
Il a des excusements
Il n’est pas arrivé
A l’heure, à l’heure
Sans les émoluments
Il fait un tour de piste
Menteur, menteur
Il a ses ulcèrements
Il se met à pencher
Malheur, malheur
Du côté de l’argent
C’est un grand arriviste
Docteur, docteur
Il n’étoit plus comme avant
Tristequeue, monument de l’affolie pelvienne
Criait à véhémence pour qu’elle lui revienne
Tristequeue, Mortecouille
Elle veut aucun des deux
Celui qui la dérouille
Il est un peu comme eux
Mortecouille, bien à plat, en oubliait la sienne
Et rêvait ses émois d’avec une bohémienne
Il paraît que, souvent
Quand t’en es au huitième
Tu prends un peu ton temps
Pour pas refaire énième
« C’est une épice eurasienne qui perce l’estomac. Là, c’est une culture
Vivante d’animaux morts, principalement des chats, des rats. Ici, c’est
Une ellipse; personne ne comprendre ça et là vous avez du grain et un
Reste de pâté de foie. Très là-bas, un pot de chambre, en nacre ; Dans,
Un pétunia. » Le Monde est une Absence, Quand on le Comprend Pas!