Hurlevent!

Il n’y a pas assez de neige sur le chemin de Hurlevent pour que les gens ne sortent et n’empêchent que s’abrège cette journée morte!

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Ecrire, partager!

Moi, j’écris. C’est comme un besoin, une source, une drogue efficace!
Moi, j’écris. C’est pour dire à Tout comment je le vis, ce que je vois en lui.
Je lui dis ce qu’il est pour moi!

Je ne demande pas ce que je suis pour lui.

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Aux remparts!

Libérons la Bête. Envoyons la combattre le Mal. Montrons lui nos pensées vertes et elle fera ce qu’on attend d’elle!

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Desperado!

Haut les mains, le kid! Je t’arrête.

Tu veux te battre? Soit, faisons un duel.
Regardes là-haut. Pan! T’es mort.

Tu ne trouves pas ça drôle. T’es mort. C’est fini, la fête!

Quand tu seras adolescent, tu joueras de la gâchette à tout bout de champ.

Tu seras un désesperado!

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Mehluzinn, love affairs!

Les feuilles mortes!

Coup de poignard en plein coeur, les feuilles mortes me rappellent…

J’ai bêché un jardin pour toi, mon amour. D’un tas de gravas, j’ai créé un coquet potager et j’en ai pris soin.
J’ai planté tous les légumes que tu aimais, mon amour. Tu semblais agacé que je te pose tant de questions sur tes préférences!
J’ai cueilli plein de fleurs pour toi mon amour, celles qui me faisaient un clin d’oeil dans mes promenades esseulées.
Je les ai replantées partout, dans les recoins de notre jardin, mon amour. Je crois que tu ne les a jamais remarquées.
Ta maladie est devenue le coeur de notre couple, supplantant notre amour. Et puis, tu m’as quittée.
Mais tu es resté tout de même dans notre maison. Et là, l’enfer s’est abattu sur moi, mon amour, et j’ai été confrontée au vide atroce de mon existence et à ta haine.
Mais la vie sépare ceux qui s’aiment, violemment et avec fracas, parfois. Et les feuilles mortes me rappellent ce jardin que j’ai bêché pour toi, mon amour, à l’automne de nous deux.

 

Ton départ!

Quand tu nous a salués, avant de prendre congé, j’ai été catastrophée.  J’ai probablement été la seule, dans la pièce, à être vraiment consciente de ton départ, tant les gens étaient heureux et discutaient avec effervescence. Cela doit être ta magie à toi. Tu partais en emmenant un petit morceau de mon coeur et ça faisait mal. Il me fallait me ressaisir, te saluer comme il se doit. J’ai pensé que, peut-être, ce petit morceau de coeur n’était pas à moi, mais qu’il m’avait été prêté. Que c’était ton choix de partir. Tu avais hésité moins d’une seconde avant de répondre par l’affirmative, quand je t’ai demandé si tu étais heureux.

Une courte respiration et je t’ai envoyé de la Lumière et un coucou de la main. La porte s’est refermée et tu n’as plus été parmi nous. Un bref frisson et l’univers est redevenu rayonnant. Peut-être que tu as laissé aussi un petit morceau de ton coeur généreux. Peut-être que c’est ta magie à toi…

                                                                                                                                                      M.

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Spectacle!

Le givre de satin blanc fait de la toile d’araignée, une dentelle ciselée.

La bruine fait, céans, de la toile d’araignée, un collier de perles irisées!

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Morbaque!

Morbac, morbac! Ce petit salaud veut ma peau.
Je me gratte, je me gratte, à m’écorcher les os.

Je l’ai dérangé, au moins? Même pas, le morpion aime bien qu’on lui gratte le dos!

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Vous les connaissez?

Je connais un couple, elle est lui. Ils ne vivent qu’entre eux. Ils n’ont pas d’amis. Ils vous reprennent. Ils se prennent pour des élus!

Moi, je vois deux limaces qui se nourrissent, en se léchant mutuellement le trou du cul. C’est dégueulasse!

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