Toi, que veux-tu dire vraiment?
Vas-y, dis-le franchement
Et abrège ton numéro.
Qu’y a t’il, au fond du pot?
Aux pinacles!
Plom, plom, plom!
En pleine gueule!
Dispute!
Ce n’est pas moi, 2!
Cacophonie sur esclandre ou pain bénit aux amandes?
Deux s’étaient faits remarquer pour leur gaieté.
Vois, ils sont là-bas, assis à côté de l’estropié!
J’espère que la vie ne te piquera pas du venin de Cagliostro.
J’espère que tu ne rencontreras pas un sournois, jouant les alter-égos.
On rencontre de tout dans le métro!
A gauche, à droite, en arrière!
Mais comment tu avances, ver de terre?
Décoloré, comme une pizza qui aurait dormi plus que nécessaire!
C’est encore mon stylo qui fait de lui-même.
Il veut écrire des trucs vicieux. Heureusement, je le freine!
Micro-polar!
— Un truc facile au départ. J’étais payé pour bien le cogner parce qu’il dérangeait. « Qu’il s’en souvienne! »
Je le coince dans une ruelle, dans le noir.
Alors que j’armais pour le frapper, il a dit : « Regarde-moi! ».
Tout en moi s’est arrêté. Je l’ai regardé.
Dans ses yeux-miroir! Il a dit : « Bienvenue chez toi! ».
— Vous l’avez cogné, oui ou non?
— Non!
Ce n’est pas moi, 1!
Il faut bien battre les gueux et leur casser les oeufs.
L’omelette sera plus facile à faire!
Un gravichon maladroit s’efforçait de remonter la pente.
Il avait beau se tenir tout droit, il retombait, à chaque fois.
A cause de la peur dans son ventre!
Je ne sais pas ce que tu as contre cet anchois-angora.
Il ne date pourtant pas des années 40!
Suivre la bulle du niveau, se mettre au niveau zéro.
Au niveau étrange, nuance!
— T’as compris quoi?
— Il ne faut pas que le camembert tombe dans la mer.
Un truc comme ça!
Ce n’est pas moi, c’est mon stylo.
Quand je rêvasse, il écrit n’importe quoi!