Oh, toi, tu t’adresses aux tiens,
Comme si tu les possédais.
Ils doivent rester des gamins
Et toujours te révérer.
Sur eux, tu te fais la main,
Les déformes à volonté.
Tu fais sous-ramper le chien.
Tu cadenasses ta moitié.
Quand tu seras mort, crétin,
Ils se sauront libérés!
Fais ce qu’il faut, du matin,
Pour ne pas y arriver!