Une grève de la faim, mais quelle idée?
Encore faudrait-il que le gréviste soit, un tant soit peu, consacré.
Et puis, la belle affaire!
On laisse mourir, pendant une quarantaine , sans moufter.
Le risque, c’est quand il agonise et c’est vite passé.
Des condoléances à l’église et l’affaire est enterrée!