Il est mort à l’automne!


Il s’est aventuré
Sur la glace fragile.
Et il s’en est sauvé,
Courageux et agile.

Il avait traversé
Le beau ruisseau d’eau pure.
Le vent s’éternisait
Dans ses bruissantes ramures.

Et il s’était baigné
Aux grandes eaux d’un lac,
A la fin de l’été,
Devenu un monarque.

Dans la boue qui enlace,
Ses pieds se sont collés.
Sa ramure, qui dépasse,
Aux oiseaux est donnée!

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