Les arbres se calvitient
Et se lamentent au hasard.
Une lumière étrécie
Peine à veiller, sur le tard.
Le doux soleil, en automne,
Séduit les convalescents.
Tous les quarts d’heure, on frissonne
Et puis, on déplace son banc.
Le soleil est sur la crête.
Il est tard, on doit vieillir,
Jusqu’au chant de l’alouette.
Lors, on pourra revenir.