J’ai porté ma prière
Au grand dieu du vivant,
Pour que vive la terre
Et ceux qui sont dedans.
J’ai autre chose à faire
Que liser tes serments.
Tu es trop éphémère
Et tu ne vaux pas tant.
Il a fui mes chimères,
Emporté par le vent.
Si je le laisse faire,
Je serai seul, vraiment!