L’hiver est morte-vive,
D’une extrême pâleur.
Et plus rien ne s’active,
Sinon dans la douleur.
La mémoire s’exhaustive
Et dit d’attendre l’heure,
La lumière réactive
De la neigeuse blancheur!
L’hiver est morte-vive,
C’est-y-pas un malheur.
Elles seront décisives,
Nos envies de couleur…