C’est mon look-caniveau
Qui affole les blaireaux.
Ma tête de mort-deux-fois
Et ce râle, dans ma voix.
C’est leur look-casino
Qui distingue les blaireaux.
Leur tête de mate-moi
Et ce vide dans leur voix.
C’est mon look-camino
Que jalousent les blaireaux.
Ils ne peuvent pas faire ça,
Leur monde est à l’endroit.