Dedans ton frêle esquif!


Tu boutes vers le récif,
Car tu veux plus l’affaire.
Des à-coups progressifs
Et puis tu laisses faire.

Quand tu cognes au récif,
Tu repars de travers.
Encore, tu es captif
Et c’est encore hier.

T’apprends rien du récif
Et tu perds ta polaire.
Tu deviens excessif
Et trop tu considères.

Facebooktwitter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *