Petit d’homme, petit bonhomme, petit homme!
Entends-tu ma voix, en ta garante nuit?
Dedans la peau du héros!
Déjà, t’y vas mollo; je pourrais faire un cardiaque.
Je crois que c’est rideau, ton affaire avec Goliath
Et Ton Fort-Alamo, une préquelle sans phosphate.
Et puis, c’est rigolo à devenir un somniaque.
De pourquoi les Fables!
Il ne faut jamais dire à l’éléphant
Que son nez n’a pas de dents,
Pour des fois que ça le rage.
Il faut pas dire à un vilain géant,
Dont le rire est si troublant,
Que son bonheur est en cage.
Il ne faut pas dire au héron des champs
Que ce n’est qu’en écrivant
Que sa plume prend du jambage.
En des pensées funestes,6!
Dis-moi, sombre cul, triste prince, l’âge de l’ingénu que t’en pinces!
Du Rire pour l’Oreille!
Vous savez pas parler; vous pouvez pas le dire.
Plutôt que l’esquiver, proposez le sourire!
De mes épisodes-chat, 1!
C’est moi qui ai appris à mon petit chat à monter dans l’arbre. Je me suis scotché, comme une mouche, sur le tronc du tilleul et je lui ai dit: « Copie! ». Il a sauté et plop. Il a gueulé comme une truie que l’on périt. Il a fallu que je le décroche et que je l’assis. Aujourd’hui, dans mon tilleul, je n’ai plus de nids …
Pensées statiques, 12!
Des fois, il faut le flasher pour qu’il se sorte de lui.
Et ils porteront la nouvelle!
C’est cet enfant universel qui, un jour, enfanta la Vie.
Le petit enfant qui chancelle,
Que l’on étrangle et escarcelle,
C’est un petit polichinelle,
Fait dans le bois d’une femelle.
Les dieux sortiront des poubelles,
Pour répondre à leur Dieu sans ailes
Et ils porteront la nouvelle :
C’est cet enfant universel.
Alors on lira, dans le ciel et les printemps, tous les avis!
Série jolies insultes, n°16 !
« J’ai comme du dégoûte-pif,
A entendre tes mots-debout,
Bien-Monsieur le politeux. »
Du chant de l’Ange!
L’Oiseau-Ange reconnaît ses petits
Quand, le son de leur voix, il est bon.