
Tu estropes le renard
Qui s’en va vers la mare
Où tes canards vont nager.
Et tu flingues l’épervier
Qui vient pour survoler
Le pré où gratte ta volaille.
Tu napalmes les talus;
Tu trucides le dahu;
Tes lapins pourront creuser.
Tes chiens sont à chasser,
A courir le gibier;
Il n’en reste presque plus.
Et tu donnes à ton chat,
En plus que tuer les rats,
Le droit de tuer ce qui bouge.
Tout ça pour que tu laisses
Tes animaux sans laisse,
Car telle ainsi est ta foi!