Le matin, je peux pas!
Le matin, je peux pas! Le temps de ratisser ses dents, de flairer mon café et de partir en courant, en le jetant dans la cour maternelle, je suis déjà en retard. A midi, je peux pas! Je bouffe dans un étranglé et j’arrose de café mon journal. Je pare au plus pressé et je fonce me faire défoncer à la salle. Après, c’est l’après-midi ; c’est long comme l’ennui!