Assied-toi donc, ma piétaille
Et cesse un peu de gueuler.
Toi, le fruit de mes entailles,
Ce que tu peux me gonfler!
Et c’est pourquoi tu couinailles,
Aurais-tu le mal des pieds?
C’est pas possible que l’on braille,
Sans une raison-vérité!
Arrête-donc, ma volaille,
Ou je vais te massacrer!
On serait vite sur la paille,
Si je devais t’écouter.
Et c’est pourquoi que tu cailles,
Par une si jolie journée?
Arrête-toi, ma bataille,
Il me faut bien comprener!
C’est évident, ma canaille,
Tu ne veux pas m’emmerder.
Poème pour toi, ma marmaille,
Je vais tout solutionner!