Maintenant, tu vis, en surnombre, dans des cages industrielles.
Par le ciel, tu creuses ta tombe, avec tes peurs existentielles.
Maintenant, tu pourris le monde, d’une horreur artificielle.
Par le ciel, tu salis les ondes, avec tes peurs excrémentielles.
Quand tu partiras pour l’ombre, tu laisseras des séquelles!