Sers-toi de tes yeux et de ton cérébral.
Mais, d’abord et surtout, sers-toi de tes yeux!
S’te plait, s’te plait!
Le vent te malmenait!
Le silence est présent!
Chaque seconde, à tout instant!
Ce n’est pas grave!
Sur la tombe d’Angelica!
Sais-tu donc, Angelica, que tu portes, en ton sourire, l’erreur de moi?
Elle danse, Angelica et elle fait, pour nous faire rire, de petits pas.
Elle nous lance, Angelica, son été, dans le sourire d’un de ses bras.
La colombe, Angelica, elle a des voeux à offrir, dessus les toits.
La palombe, Angelica, elle veut toujours revenir dedans ses bois.
Elle nous chante, Angelica, une chanson pour aboutir auprès de soi.
Elle enchante, Angelica et sa voix, à se mûrir, se perle parfois.
Sur sa tombe, Angelica, on voit le printemps fleurir comme il se doit.
C’est une ombre, Angelica; on revoit le bois dormir entre ses bras …
Sache donc, Angelica, que tu gardes, en ton sourire, le coeur de moi!