On commence à comprendre, quand on arrête de penser.
Jamais, on ne sait. Tes certitudes, elles ne vont pas t’aider.
Cette solitude que tu dois entreprendre, c’est ton identité!
Tu te ronges le bocal!
Tu te ronges le bocal,
Tu te fais des marées.
Tu me tues le moral,
De tes mots attristés.
Un peu contemplatif!
Je suis là, avec moi,
Tranquille et réceptif.
Je me vide de moi
Et je me gratte le pif.
Je reste assis, en bas,
Un peu contemplatif.
Avec de l’eau, du sable!
Avec de l’eau, du sable,
On peut te nettoyer.
Plus rien n’est regrettable,
Les mômes vont te laver.
Avec de l’eau, du sable
Et un peu de l’été!
Le temps n’existe pas!
Il planait tout là-haut et regardait en bas.
Ses ailes avaient cessé de froisser l’air.
Il planait, doucement, dans l’air chaud.
Le temps n’existe pas.
Tu as trouvé la clef!
Depuis quelque temps, tu vas mieux.
Tu es toi et sembles heureux de l’être.
Alors, faut recommencer!
L’équilibre, le chat est très qualifié, ce, sans avoir besoin d’y penser.
Il sait marcher sur une régle, d’à peine un petit centimètre de côté.
Il y mange, il y boit et chasse. Il y dort, observe et baise. Il y glande!
Il n’y a que quand il se tanne avec un autre que cela pose problème.
Les deux adversaires tombent et retombent, il faut recommencer!
La petite fée Clochette!
Allez tonner, tambours.
Venez pleurer, trompettes.
Elle est morte, en ce jour,
La petite fée Clochette.
Elle est morte de l’amour
D’un Peter pas très net.
Elle est morte, pour toujours
Et c’est ce qu’on regrette.
Toutes les fées alentour
Se dépêchent, les pauvrettes
Et cherchent, au carrefour,
Le coeur de leur soeurette.
Un coeur sec!
Un coeur sec, c’est un coeur en automne
Qui ne sait pas qu’il n’aime personne.
Kilékon se rebelle!
Allez, tous, vous faire pendre.
Je préfère l’oubliette.
Et, quitte à bien descendre,
Je veux être une miette!