La balance qui te pèse!


C’est le blanc de la fraise
Qui te coupe l’appétit.
Et ce coq à la braise
Qui est tout racorni.

C’est un dossier de chaise
Qui te quitte, à la nuit.
La balance qui te pèse
A poussé un grand cri.

On n’est pas trop à l’aise,
Car rien n’est garanti.
Le bon sens qui apaise,
On le fuit, à grands cris.

C’est un rejet de braise
Qui te brûle le sourcil.
Toujours du ketchup-fraise,
Dessus tes spaghettis?

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Ecoutez, bande de cons!


Vous voulez ma chanson?
Je vais vous contredire.
Ecoutez, bande de cons,
Car ça peut vous servir.

Si je dis un truc bon,
Vous allez m’applaudir.
Si je dis un truc con,
Vous allez me pourrir.

Terminée, ma chanson,
Je n’ai plus rien à dire.

Ecouter, tristes cons,
Ce n’est pas se salir!



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Des fois, ça démange!


Des fois, ça démange
De tuer des rats.
De vendre des anges,
De pendre des chats!

Refaire la vidange
Et penser à toi,
C’est plutôt étrange,
Je n’arrive pas.

Des fois, ça démange
De foncer tout droit,
Sur le bruit étrange
Que l’on cassera!

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C’est écrit dans le livre!


C’est écrit dans le livre,
Dedans le Full-Migraine.
Personne ne lit le livre,
Car on sait où ça mène.

C’est facile pour personne
D’apprendre la vérité.
La vérité qui sonne
Est cause de céphalées.

Tout est dit, dans le livre,
Car l’histoire est ancienne.
Ce que tu as à vivre
Est dans le Full-Migraine.

Il faut toute une semaine,
Pour le bien comprener.
Avec le Full-Migraine,
Ton cerveau va chauffer.

Migraine en dix leçons
Ne va rien t’apporter.
Migraine, la solution,
C’est du copié-collé.

Le grand livre a raison,
Tu veux bien essayer.
Tu as tes cachetons
Et tu peux supporter.

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Qui le mène à l’église!



C’est trop soudain, soudain.
Le grand Gustave Machin,
Qu’on a serré la main,
Il est mort en église.

Si le petit va bien?
Son menton est le tien.
Et c’est un technicien,
Il amasse les devises.

C’est trop vilain, vilain.
Le grand Gustave Machin
A fait un orphelin
Qui le mène à l’église!

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Dans la toile d’araignée!


Dans la toile d’araignée,
Je vois comme un réseau
De points entremêlés.
Le vent y bruisse les mots!

Pour savoir la journée,
Pour savoir qu’il fait beau,
Faut écouter vibrer
Les points alter-égos.

Il est grande journée
Qui chante le renouveau,
Les cris d’un nouveau-né
Font vibrer le réseau!

Il faut se concentrer
Et regarder, c’est beau.
La toile, dans la rosée,
Se perle de gouttes d’eau!

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