Un équilibre secret entre émotions et réel. Tu avances par déclics. Tu changes et ne veux plus être celui que tu étais.
Tu es sur la bonne route, on dirait!
To Pierre-Pierro, Correspondances
Un sourire, un poème!
Encore lui! Je n’arriverai jamais à m’en défaire.
Ne t’approche pas, éloigne-toi!
Mon poing se serre. Il en a après ton tarin. Il en a marre; il te prend pour un Témoin. On s’est bien assez vu; on ne s’apporte rien. Et puis, tu exagères à faire ton important, toi qui n’es qu’importun! Décidément non, je ne te supporterai pas jusqu’à la St-Glinglin.
Je ne te raccompagne pas. Autant éviter que mon pied, en colère, ne s’en prenne à ton derrière!
Noël est une des fêtes dernières où les proches cherchent à se rassembler. C’est maintenant une fête consommière, une fête cocoonière, faite de cadeaux, de mangeaille et de lumières. Une bonne raison d’acheter! Oui, mais derrière cette vérité première, l’envie de s’enrichir des joyaux d’être ensemble est encore une réalité.
Quand le sanglier fonce dans la trace, le rouge-gorge le suit pour gober, ce qui bouge dans les feuilles mortes et, est resté dans la traînée.
Le petit oiseau accompagne tant la grosse bête qu’on dirait qu’il l’oriente ou en est tombé amoureux et ne plus s’en passer.
Non, non, là tu rêves. C’est l’appétit qui le mène. Des fois que…
Manger et éviter d’être mangé, c’est leur réalité. Nous ne sommes que quelques espèces à vivre dans un monde assisté!
N’empêche que ce curieux rapport à la vie leur donne des capacités-phénomènes , les rend capables de relations intelligentes et opportunes.
Des fois que…
Je ne descends sur la côte que, quand j’y suis obligé. Je me baigne à six heures du matin, avant que les poules ne sortent. Quand je suis arrivé! L’eau me lave du voyage et me berce dans un monde privé. Arrive le premier baigneur, j’ai envie de me barrer!
C’est au tour des petits baigneurs de venir s’empiler, à coup de « Pardon, excusez-moi! Excusez-moi, pardon! », sous les parasols de leur mer-clapier, le temps d’un été…
Je préfère les étangs, les rivières. Je crois que j’ai de la chance.
Le peu de campagne qui me reste, je le trouve dans des bois bien rangés et dans des champs pelés. Il n’y a que dans les fossés que la vie se presse! Abri de fortune, dernier abri, s’il en reste. Je les observe goulûment. Et jamais, je n’irai les emmerder!