Je reprendrais bien un peu de ton gâteau à deux parts. Le café fume à mes yeux, comme un train dans une gare. Tu n’es pas devenu vieux et c’est même un peu bizarre.
Des fois, cela lui arrive, c’est quand il se met tout seul, De sembler à une endive qui se parle en épagneul.
Je te dirais, qu’à nous deux, on est bien deux fois plus vieux Mais surtout deux fois moins sages. Je relis ça dans tes yeux qui sont juste assez plisseux Pour me rappeler mon âge.
T’es tout seul, dans ton froc et la mer est éteinte. Le grand vent ,qui te bloque, t’essore et te contrainte. Tu vas visiter un peu et après tu rentres!
Longues pattes réactives à la forme d’un pinceau, Elle bouffe tout ce qui vive à la lumière de l’eau. Toute son aile est olive et du blanc au cerveau. Selon les perspectives, c’est le roi des oiseaux.
C’est si tant qu’elle est vive qu’on sait pas son plumeau. Sinon, tu la vois pas; elle se cache comme un rat, Et puis son trémolo, il est pas vraiment beau.
La Truccule pédoncule; alors son col est beau. Le grand cygne recule et va pleurer sous l’eau. Elle danse, Truccule, tout en peignant les eaux Et colle la libellule à la gauche du tableau.
C’est dans un ballet-bulles qu’elle fait en tapant l’eau Que la grande Truccule finit son numéro. Sinon, tu la vois pas; elle se cache comme un rat.
— C’est un cadeau de mon oncle. — Ton oncle, c’est qui? — C’est le frère de mon père. J’aimais bien quand c’était lui qui me gardait. — Et il était comment? — Comme un oncle.