Un sourire, un poème!
Tu apparaissais souvent.
Tu avais tes seize ans
Et tu vivais dans le gris.
Tu parlais tout doucement.
Tu disais ton tourment
Et tu te montrais gentil.
Dans le grand appartement,
Tu ne restes pas longtemps.
Tes deux parents sont partis.
Tu étais frêle et changeant,
Tu vivais hors du temps.
C’était bien plus de minuit.
C’était il y a longtemps,
On fait venir des gens.
Alors toi, tu t’es enfui!
On devient sage, quand on cesse d’être malheureux.
On a autre chose à faire, déjà apprendre à souffrir!
C’est dans la qualité du fer
Que l’on vient rechercher
La capacité de la lame.
C’est dans la qualité du faire
Et, non pas dans les pensées,
Que réside la santé de l’âme.
Il est embarrassé pour dire,
C’est pas qu’il vous aime pas.
Il vous a fait un cadeau!
Parce qu’avec moi, tu veux être toi.
Parce qu’avec toi, je peux être moi.
J’entends le doux chant de la joie tranquille!
Je ressens ce que tu m’envoies,
Je ressens comment tu me vois.
Et les émotions partagées.
Je vois comment tu me reçois,
Je vois que je ressens pour toi.
Et ce que l’on va se garder!
J’ai un peu peur, qu’au final, ce soit lui qui me le demande. J’aurai du mal à refuser. Pourtant, il ne faut pas, c’est une mauvaise idée!
Tu es ma paix avec moi, mon absence de promesse!
Les couteaux sont tirés,
Le moment est étrange.
On entend respirer.
Puis, les os se mélangent.
On commence à comprendre, quand on arrête de penser.
Jamais, on ne sait. Tes certitudes, elles ne vont pas t’aider.
Cette solitude que tu dois entreprendre, c’est ton identité!