L’art de banaliser!

Comme tous, j’aime les pensées agréables.
Mon cerveau en met dans tous les coins.
Voir la misère est désagréable.
Mon cerveau refuse d’en faire un foin.

Plus c’est loin, moins il se sent coupable.
Il dit juste : Eh bien, là-bas, ça craint!

Facebooktwitter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *