J’ai vu, l’autre jour, un frelon pendu par une patte, tête en bas, dévorer une abeille qu’il avait attrapée par derrière.
J’ai été désolé pour l’abeille, je l’avoue.
Puis très vite, j’ai vu un être se nourrir comme il peut, comme il sait.
A la fin, de l’abeille, il ne restait que la tête.
La nature est bien faite!