Coucou!

On n’a pas vu les perce-neiges. Le coucou chante, déjà.
As-tu une pièce? Regarde à tes pieds.

Madame Coucou félicite les jeunes mariés. Ils nichent pour elle. Ils sont bien cocufiés!

Version plus cruelle et plus réelle :
Si tu as encore des pièces dans ta poche, quand tu entends le coucou chanter, c’est que l’hiver s’est bien passé!

Maintenant, tu caches les pièces, d’un effet de manche. Tu te mets à traficoter.
Avec toi, le dicton va devoir encore évoluer!

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Debout, les parents!

Mon enfant, tu fais le coq, la sirène.
Dans mon gras dimanche, tu viens me réveiller !

C’est à cette heure-ci que tu te lèves,
Tu dois être prématuré!

Maintenant, c’est tout un poème pour te recoucher.

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J’en suis heureux!

Quelque part, je suis chanceux.
C’est le souci des autres que j’ai eu en héritage.

Si j’avais été va-t’en-guerre, dégénéré, un autre, ça aurait été un naufrage!

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Tu m’écorches!

Tu m’as tant pourri la vie. Tu continues, encore aujourd’hui.

Bien sûr, je te pardonne. Mais, je rêve que l’on t’emmène, loin, là-bas et qu’on t’y laisse seul!

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En vacances!

A gauche :
Eh, pousse-toi, s’il te plaît.
( Il s’assoit lourdement.)
A droite :
Non, je suis déjà serré.
Au milieu :
Fais attention, tu m’écrases!

Devant :
(En choeur!)
Ah, non! Vous n’allez pas commencer.

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On veut réprimer le peuple?

Pourquoi cette violence?
Pourquoi cette insistance?
Pourquoi on nous assaille?


Cela me fait penser

Que l’on veut nous traiter
Comme on traite le bétail.

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