En ces temps de malheur,
De rumeurs acérées,
Et d’humeur violacée,
Il paraît qu’il est l’heure
D’aller tuer ma moitié!
Je préfère la chaleur,
De la voir exister!
En ces temps de malheur,
Il nous faut résister.
Il nous faut exporter
Ces instants de bonheur
Qui nous font espérer.
Je préfère être un coeur,
Friant de palpiter!