Comme un lézard au soleil!


Appuyé, le dos au mur,
Je lézarde au chaud des vagues.
Vibrations de la nature,
Grands émissaires du printemps.

Quittant mon esprit peu sûr,
Et décrochées par les vagues,
Mes pensées se collent au mur.
J’ai un répit dans le temps!

Relaxé, le dos au mur,
Je me tais ou je divague.
Car j’ai respiré l’air pur,
Dans un cocon cristallin!

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