La nature vire au printemps
Et moi, je traîne en arrière.
J’avance encore nuitamment,
Je me méfie des chimères.
Louche, cet air revigorant
N’allume pas la lumière.
Et ce vieux plancher-chauffant,
Lui, n’est pas d’un chaud d’enfer!
To Pierre-Pierro, Correspondances
Un sourire, un poème!