Vivement le printemps!


La nature vire au printemps
Et moi, je traîne en arrière.
J’avance encore nuitamment,
Je me méfie des chimères.

Louche, cet air revigorant
N’allume pas la lumière.
Et ce vieux plancher-chauffant,
Lui, n’est pas d’un chaud d’enfer!

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